Les salopards
Je ne trouve pas d’autre mot pour désigner les responsables de cette abjection.
Un système (le capitalisme), qui permet de tels excès, est un système foncièrement pourri.
Un système (le capitalisme), qui permet de tels excès, est un système foncièrement pourri.
7 commentaires :
Affligeant... :'(
Par Anonyme,à 14/6/07 17:57
Ca laisse sans voix...
Par Anonyme,à 18/6/07 18:46
Euh... c'est re-moi. Juste pour dire que j'ai lu quelques uns des posts antérieurs et que je vais vous référencer, comme on dit.
(Si après visite, vous êtes plutôt contre, n'hésitez pas à me le faire savoir :-))
Par Anonyme,à 18/6/07 18:53
@ flo py :
Bien entendu, aucun problème pour le référencement. J'ai visité et je n'ai rien contre, ou alors tout contre. ;-)
Par sol,à 19/6/07 08:55
Bonjour,
Je découvre ce blog grâce aux Papillons. Bravo pour votre saine colère et votre clairvoyance. Je le mets dans mes favoris...
En parcourant les posts, je suis tombé sur celui-ci, mais la page a disparu. De quoi s'agissait-il?
Encore bravo.
Par Anonyme,à 4/1/08 13:53
@ dimecs :
Merci pour tout.
Toujours ravi d'être un favori. ;-)
En effet, le lien est cassé, mais j'ai retrouvé une copie de la dépêche en question sur un autre blog et la voici :
WELLINGTON (AP) - Une patiente néo-zélandaise qui dépendait d'un respirateur artificiel pour survivre est décédée après la décision d'une compagnie d'électricité de couper le courant de sa maison pour défaut de paiement d'une facture, a affirmé mercredi sa famille.
La police a indiqué avoir ouvert une enquête sur la mort de Folole Muliaga, 44 ans, à Auckland, dans le nord de la Nouvelle-Zélande. Elle est décédée mardi deux heures après la coupure de courant décidée par la compagne publique Mercury Energy.
Le directeur général de l'entreprise, James Moulder, a fait savoir que la société était anéantie par cette nouvelle et menait sa propre enquête. Il a refusé de dire combien elle devait.
Cette institutrice, mère de quatre enfants âgés de cinq à 20 ans, était en arrêt de travail depuis février. Un agent de Mercury Energy est venu mardi couper l'électricité, a expliqué Breden Sheehan, un neveu par alliance de la patiente, qui a précisé qu'elle devait 168,40 dollars néo-zélandais (122 dollars, 90 euros).
Selon lui, son fils et elle ont expliqué au technicien qu'elle dépendait du respirateur artificiel pour survivre et l'ont invité à rentrer dans la maison pour qu'il voit la situation. "Puis, il a coupé le courant", a-t-il dit à l'Associated Press.
Rapidement, Folole Muliaga a commencé à avoir des difficultés pour respirer. Elle a ensuite perdu connaissance. Les secours n'ont pu la ranimer, et son décès a été prononcé deux heures après la coupure.
James Moulder a souligné que le courant avait été rétabli dans la maison mercredi une fois la nouvelle connue. La famille endeuillée a passé la nuit sans électricité, a-t-il ajouté, avant d'exprimer ses "profondes condoléances" aux proches de la patiente.
Sheehan a affirmé que les factures de la famille prouveraient que l'institutrice essayait de les payer et n'avaient reçu aucun avertissement concernant une coupure de courant. AP
Par sol,à 4/1/08 14:27
Merci pour l'info. C'est atterrant en effet.
Par Anonyme,à 4/1/08 17:46
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